Les 3 jours de la queue du dragon
tabs
Une histoire à rêver debout, de dragons, de dragonnes, de clarinettes et d'écouvillons, un conte naïf entre leçon de ténèbres et la leçon de choses, qui est aussi un cours complet de bêtise, avec exercices ludiques de conjugaison, grammaire insolite, vocale, impertinente.
Les Trois jours de la queue du dragon a été joué pour la première fois en 1993 au musée des Arts et Traditions populaires, dans une version oratorio, par l'Ensemble 2E2M et l'auteur et créé en 2001 dans une mise en scène de Joël Jouanneau. Jacques Rebotier a également écrit une version opéra créé en 2008 à l'Opéra Bastille.
+ " Tout est poreux dans cette pièce illustrée et musicale, poésie sonore, loufoque et sérieuse, entre cirque et théâtre, religion et paganisme, queue et coda. Cette œuvre propose un pacte de lecture très ouvert et semble engagée dans une performativité mêlant le dire et le faire, à tel point que l’on peut y lire un traité en acte consacré aux théories de la lecture, de nature fortement phénoménologique. L’expérience de lecture est expérience poétique. Les constants jeux de mots représentent alors un hymne à la théâtralité de la langue."
+ Extrait de l'article : Une part du théâtre qui s'ouvre à la recherche de Marie Bernanoce et Sandrine Le Pors, éditions Recherches et Travaux n°87 (2015)
+ Les Trois jours de la queue du dragon de Jacques Rebotier, entre théâtre, musique et poésie un article de Nathalie Rannou, Maître de conférence langue et littérature française à l'Université de Rennes
éditions Recherches et Travaux n°87 (2015) < lire l'article complet par ici >
presse
Le Nouvel observateur « Le dragon vu par Jacques Rebotier est une drôle de bête qui mérite amplement une lueure d'exposé loufoque. (...) Trois clarinettistes ponctuent cet éloge de l'absurde. Avec talent et humour. »
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Libération « Car le sujet central de l'affaire s'appelle le langage, qui prend ici la forme d'un gros monstre imaginaire à la fois comique, impressionnant et inépuisable, et qui sait enflammer les esprits rien qu'en faisant des têtes-à-queue avec les lettres de l'alphabet. »
Le Monde : « ce spectacle-conférence charmant et désopilant. » (19 déc 2001)